Chapitre 1
A coup de malice et d’instables astuces
J’suis venu à bout d’autres mâles en lice
Touchés en plein cœur de nos poupées russes
Nos corps abimés qui enfin s’unissent
Je ne fais pas le poids face à ton aisance
Tes désirs font loi, je suis sans esclandre
Mes poignées d’amour deviennent tes anses
Mon corps tout entier renait de ses cendres
Epris de tes vices, j’absorbe le venin
Pris dans tes hélices, je sombre, je me noie
Tu maîtrises à souhait les courants marins
Infinies abysses m’éloignent de toi
Tu me rends amer de par tes absences
Amertume qui me consume chaque soir
Mon cœur malheureux que tu as fait rance
Je ne veux plus jamais, jamais te revoir
Laisse Aboyer les chiens 